Pierre LACHKAR, « Femmes : Désirs », Huile sur toile, 80 x 100 cm
Pierre LACHKAR, né en 1945 à Fes Maroc. Vit à Toulouse.
Grand prix des artistes méridionaux, Médaille d’or 1991.
« Femmes : Désirs », Huile sur toile, 80 x 100 cm.
Catalogue Pierre LACHKAR offert avec le tableau. Ed. Books on Demand GmbH 2018, 35€.
Notre tableau y figure en page 75 avec comme note :
« La peinture est souvent une approche de la nudité, du dévoilement, mais Pierre Lachkar ne cède pas à cette généralité.
La nudité dans son œuvre, pourrait apparaître avec le sang des arbres. Suggestion d’un dévoilement jamais ultime.
Ces jeunes femmes nues ressemblent à des figurines, et leur nudité est recouverte d’un puissant bricolage à l’entour : la mer, les bateaux, une chambre, une fontaine, une canne de golf, une bicyclette, etc.
Celle qui paraît la plus nue, la blanche, se voile le regard, appelant à notre pudeur. »
Pierre LACHKAR, né en 1945 à Fes Maroc. Vit à Toulouse.
Grand prix des artistes méridionaux, Médaille d’or 1991.
« Femmes : Désirs », Huile sur toile, 80 x 100 cm.
Catalogue Pierre LACHKAR offert avec le tableau. Ed. Books on Demand GmbH 2018, 35€.
Notre tableau y figure en page 75 avec comme note :
« La peinture est souvent une approche de la nudité, du dévoilement, mais Pierre Lachkar ne cède pas à cette généralité.
La nudité dans son œuvre, pourrait apparaître avec le sang des arbres. Suggestion d’un dévoilement jamais ultime.
Ces jeunes femmes nues ressemblent à des figurines, et leur nudité est recouverte d’un puissant bricolage à l’entour : la mer, les bateaux, une chambre, une fontaine, une canne de golf, une bicyclette, etc.
Celle qui paraît la plus nue, la blanche, se voile le regard, appelant à notre pudeur. »
Pierre LACHKAR, né en 1945 à Fes Maroc. Vit à Toulouse.
Grand prix des artistes méridionaux, Médaille d’or 1991.
« Femmes : Désirs », Huile sur toile, 80 x 100 cm.
Catalogue Pierre LACHKAR offert avec le tableau. Ed. Books on Demand GmbH 2018, 35€.
Notre tableau y figure en page 75 avec comme note :
« La peinture est souvent une approche de la nudité, du dévoilement, mais Pierre Lachkar ne cède pas à cette généralité.
La nudité dans son œuvre, pourrait apparaître avec le sang des arbres. Suggestion d’un dévoilement jamais ultime.
Ces jeunes femmes nues ressemblent à des figurines, et leur nudité est recouverte d’un puissant bricolage à l’entour : la mer, les bateaux, une chambre, une fontaine, une canne de golf, une bicyclette, etc.
Celle qui paraît la plus nue, la blanche, se voile le regard, appelant à notre pudeur. »